The woman in you is the worry, the worry in me
C’est fou ce que la musique te donne des idées parfois et je
crois que je ne vais pas regretter la nuit d’hier que j’ai passé avec mon un ami question
de fêter son anniversaire.
- La femme : s’il te plait, peux-tu me passer le
stylo ?
- L’homme : (donnant le stylo à sa femme) bien
sûr.
- La femme : (explose en sanglots)
- L’homme : ta mère te manque, je sais.
Là, ce que je déteste le plus quand je suis en train de
regarder un film est arrivé. Cette publicité...
Lassé, je remets les écouteurs pour continuer ce que j’ai
commencé avec Ben Harper quand la scène du film me revient et je me suis dit
qu’il y a un truc qui cloche dans cette petite conversation que la femme a
(essayée d’) entamer, et je me suis mis à traduire tout ça du langage de femmes
vers un langage normal et le résultat ressemble un peu à ça :
- La femme : Chéri, c’est si étrange ! c’est pendant
les moments où nous sommes si proches physiquement l’un de l’autre que je me
sens si loin de toi, car cela me rappelle quand nous étions encore étudiants,
on aimait s’asseoir coude contre coude, se regarder dans les yeux et sentir
cette profonde et indescriptible connexion qui transcendait le temps et
l’espace et maintenant que nous sommes là, sous le même toit, toutes ces choses
me semblent ténues. Nous passant notre temps à lire les journaux et regarder la
télévision et je me demande si nos liens physiques nous pousse paradoxalement
dans une parité profonde a un point qu’une simple demande pleine de sens est devenue
une base de l’expression, veux-tu me montrer que tu as compris ce que je veux
dire ?
- L’homme : (donnant le stylo à sa femme) bien sûr.
- La femme : (explose en sanglots)
- L’homme : ta mère te manque, je sais.
She keeps him guessing : Ben Harper - The
Woman In You.
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